TIJGEROOG EN VALKENOOG | NL
Voornamelijk afkomstig uit Zuid-Afrika, hebben deze twee stenen hun respectievelijke naam te danken aan de gelijkenis met een dierenoog met zijdeglans. Het spiegelend en satijnachtig effect wordt veroorzaakt door de goudbruine (geel - goud -bruin) vezelstructuur van crocydoliet. Het verschil tussen beiden ligt in het metaalblauwe effect van het valkenoog dat veroorzaakt wordt door hoornblende die, geoxideerd, geel wordt en zo het tijgeroog vormt door de vorming van ijzerhydroxyde. Tijgeroog is een evenwijdig-vezelig kwartsaggregaat met ingesloten fijn vezelig limoniet. Valkenoog heeft een blauwgrijze tot blauwgroene kleur dat een effect geeft van een oog van een roofvogel, vandaar zijn naam. Aangezien tijgeroog behoort tot de kwartsfamilie heeft hij ook dezelfde scheikundige samenstelling SiO2. De hardheid is ook die van kwarts, namelijk 7 op de schaal van Mohs en een soortelijk gewicht van 2,64 tot 2,71.
Pourtant il faudra faire attention il y a des pierres qui ont des déchirures naturels entourées d’un halo comme un arc-en-ciel qui est due à des tentions internes.
Si des pierres traitées sont exposées pendant plusieurs heures à l'ultra son, le produit devrait se détériorer selon le Northwest Gemmological Laboratory; toujours selon le même laboratoire, une exposition à une forte source de rayon U.V donne de l’érosion (pendant +/- 40 h) à la surface du procédé. Actuellement des rubis Birman sont aussi traités de la même manière. Déjà plusieurs bijoutiers ont eu la mauvaise expérience lors d’achats de rubis « à la source » au Myanmar. Soit ils sont mélangés dans des lots, soit ils sont vendus séparément. Si le bijoutier l’achète de bonne fois, il aura de sérieux problèmes lors de la vente. Car le produit disparaît après quelques mois d’exposition au soleil, de nettoyage dans des produits décapants ou dans l’ultra son. Le client verra son beau rubis devenir terne, la couleur est altérée et les déchirures refont leurs apparitions. Une étude forte intéressante a été faite par Pio Visconti dans son nouveau livre « Rubini Infiltrati, Caratteristiche gemmologiche e durabilità».
Il est un fait qu’aussi bien le négociant en pierres précieuses que le consommateur, doit exiger lors d’achats de pierres de grandes valeurs, un rapport d’un laboratoire reconnu tel que le GIA, HRD, IGI, Gübelin ou LFG. Les instruments de laboratoire ont aussi énormément évolués au courant des dernières décennies, le spectrophotomètre en UV-VIS et Infra-Rouge, le « DiamondView », la spectroscopie Raman et en rayonnement X, ne sont que quelques-uns des instruments exorbitants qui font parties des laboratoires gemmologiques actuels.
Car les valeurs des rubis de haut de gamme sont en hausse constante, un rubis d’un carat de bonne qualité « Birman » atteint des prix entre 25.000 et 50.000 $ le carat. Un rubis de 7,66 carats à été vendu chez Sotheby’s à Genève 151.397 $ le carat, un autre rubis de 6,04 carats à été vendu à 551.137 $ le carat chez Christie’s à Hong Kong.
Le diamant a connu une forte hausse en 2011, mais connait un léger tassement en 2012 tout comme l’or. Les prévisions sont malgré tout optimistes à long terme, car la production mondiale du diamant de belle qualité (plutôt en baisse) ne pourra jamais suffire à la demande des pays émergeants.
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